⭐ 1. L’atout du plafonnier de cuisine

Les plafonniers existent en de multiples formes : carré, sphérique, plate, demi-sphérique, oblong… Directement fixés au plafond, ils sont rapides à installer, ne prennent pas de place et offrent une lumière homogène. Idéal dans les cuisines ouvertes, ils s’adaptent aussi au salon, à la chambre ou à la salle de bain.

🛠️ 2. Choisir la bonne source lumineuse

2.1. Ballast électronique ou inductif ?

Privilégiez le ballast électronique : démarrage instantané, meilleur rendement lumineux, silence, encombrement réduit et consommation jusqu’à 4 fois inférieure à un ballast inductif.

2.2. Tubes fluorescents : halophosphore ou tri-phosphore ?

Les tubes tri-phosphore offrent un excellent rendu des couleurs, une luminosité stable et un vieillissement lent. Les tubes halophosphore, eux, rendent les couleurs ternes, s’estompent rapidement et offrent une lumière de moindre qualité. Pour différencier les deux : le tube tri‑phosphore restitue fidèlement la teinte de la peau, l’autre non.

🔧 3. Système de commande & matériaux

Bien que utiles, les télécommandes pâtissent de la graisse et de l’humidité ; optez plutôt pour un interrupteur mural ou bouton traditionnel. En ce qui concerne l’abat‑jour, privilégiez l’organique transparent ou le plastique souple : le verre, bien que plus étanche à la graisse, est fragile et plus difficile à nettoyer.

📏 4. Les indicateurs clés à vérifier

• Flux lumineux : 1500–2500 lm recommandés pour la cuisine.
• Température de couleur : 3000–4000 K pour un équilibre entre convivialité et fonctionnalité.
• Indice de rendu des couleurs (IRC) : ≥80 pour un rendu fidèle des aliments.
• Durée de vie moyenne : pour limiter les remplacements fréquents.
• Rendement lumineux : plus élevé = plus d’économie d’énergie.
• Absence de scintillement : un bon driver garantit une lumière stable, sans fatigue visuelle.